Vue de la zone industrielle

Du fil au fil « M »

Quelle belle histoire que celle de la valeur « entreprendre » dans la ville de Sainte Sigolène. De l’activité passementière (le fil) à l’industrie plasturgique (le film plastique), l’industrie a su s’adapter, se diversifier et se développer.

Les écharpes « made in Sainte Sigolène »  exportées dans le monde entier

A Sainte Sigolène et dans les communes environnantes, à la fin du XVIIème siècle, la passementerie (fabrication de ruban) fait son apparition. Près de 2000 métiers à tisser rythmaient la vie des sigolénois. Le textile a ensuite connu plusieurs crises. Elles entrainent la fermeture de nombreux ateliers mais l’industrie du tissage subsiste encore aujourd’hui dans quelques entreprises.

Une ouvrière sur un métier à tisser

Sainte Sigolène premier pôle français d’extrusion de film en polyéthylène

La transition vers la production du plastique s’est réalisée au début des années 1950. Elle est née d’une rencontre avec un ingénieur chimiste et un sigolénois Abel Barbier. Cette rencontre aboutit à la découverte d’une nouvelle technique: l’extrusion plastique permettant la fabrication de films plastiques. Cette industrie génère aujourd’hui 4000 emplois directs ou indirects.
Actuellement, la production s’adapte et se diversifie pour répondre aux exigences écologiques.  La filière recyclage joue un rôle clé dans l’économie circulaire.

Extrudeuse

Un territoire industriel diversifié

  • Des industries de maintenance à la production de composants pour l’aéronautique, le ferroviaire ou le nucléaire.
  • Une industrie textile qui innove, crée, exporte dans de nombreux pays.
  • L’ injection plastique qui, par sa réactivité, son savoir-faire répond aux attentes des donneurs d’ordre nationaux et internationaux.

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